DOC 234—34/2
Nous ne reviendrons jamais sur l’île au soleil
2016
2016
Petit groupe de naufragées
de ce navire (in)Hospital(ier), elles ont traversé la mer en
détresse sur leurs vaisseaux-récits pour échouer sur une
île fantasmée. Sur cette terre se projetteront les désirs de faire tomber les murs, ceux
de l’hôpital, des corps et desimaginaires. Ensemble elles affrontent les chimères, les disparitions et les fantômes qui peuplent leurs épopées quotidiennes. Ce film est le journal de bord de cette traversée.
Ce film à été réalisé au terme d’ateliers d’écritures animés
de Janvier à Avril 2016 dans un Ehpad à Bourges. Les textes
lus ont été écrits par Camille Rebeyrolle, Edite Arnoux, Mlle Prunier et Mme Barbot.
«Le film m’inspire une impression de dissolution et les personnages sont incohérents et cependant je les comprends et ils suscitent en moi des sentiments divers et spécialement authentiques. Je me reconnais dans ce mélange
d’impressions étranges et finalement bienfaisantes et qui restituent le bien en moi et la paix si ardemment désirée par mon âme souvent tourmentée et mon corps inconfortable que je voudrais pacifier. Cette île me procure des sentiments qui me sont familiers et que j’apprécie d’autant qu’ils me montrent la détresse des personnages qui se cherchent avant de se retrouver par bonheur au milieu d’une nature bouleversée, d’une mer en détresse et des rochers inhospitaliers. Si j’étais cette île, ces personnages
arrivent sur moi pour me réconforter et apaiser mes recherches jusque là infructueuses. Je cherche l’isolement, la paix extérieure et intérieure pour ma plus grande satisfaction et celle de mes compagnons. De mes compagnons qui sont aussi mes voisins et amis et dont je crois à la fidélité des sentiments à mon égard.»
Mlle Prunier
de l’hôpital, des corps et desimaginaires. Ensemble elles affrontent les chimères, les disparitions et les fantômes qui peuplent leurs épopées quotidiennes. Ce film est le journal de bord de cette traversée.
Ce film à été réalisé au terme d’ateliers d’écritures animés
de Janvier à Avril 2016 dans un Ehpad à Bourges. Les textes
lus ont été écrits par Camille Rebeyrolle, Edite Arnoux, Mlle Prunier et Mme Barbot.
«Le film m’inspire une impression de dissolution et les personnages sont incohérents et cependant je les comprends et ils suscitent en moi des sentiments divers et spécialement authentiques. Je me reconnais dans ce mélange
d’impressions étranges et finalement bienfaisantes et qui restituent le bien en moi et la paix si ardemment désirée par mon âme souvent tourmentée et mon corps inconfortable que je voudrais pacifier. Cette île me procure des sentiments qui me sont familiers et que j’apprécie d’autant qu’ils me montrent la détresse des personnages qui se cherchent avant de se retrouver par bonheur au milieu d’une nature bouleversée, d’une mer en détresse et des rochers inhospitaliers. Si j’étais cette île, ces personnages
arrivent sur moi pour me réconforter et apaiser mes recherches jusque là infructueuses. Je cherche l’isolement, la paix extérieure et intérieure pour ma plus grande satisfaction et celle de mes compagnons. De mes compagnons qui sont aussi mes voisins et amis et dont je crois à la fidélité des sentiments à mon égard.»
Mlle Prunier